Verallia Cognac : Suite à l’action de la CGT, la directions mise en demeure sur sa nouvelle organisation du travail.

La direction Régionale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités de Nouvelle Aquitaine, saisie par la CGT Verallia Cognac, vient d'adresser une mise en demeure à la direction du site verrier de Cognac concernant les risques psychosociaux engendrés suite à la mise en place unilatérale de la nouvelle organsiation du travail à Verallia Cognac. Rappelons que cette nouvelle organisation fait suite à l'arrêt du four de Cognac et à la supression de plusieurs dizaines d'emplois.

ette mise en demeure doit etre suivi d'un plan d'action exécuté sur une durée maximale de 4 mois.

La direction du site est sommée donc de :

- Procéder à une évaluation des rsiques portant sur l'ensemble des facteurs psychosociaux susceptibles d'être à l'origine des constats effectués tels que :

- l'intensité du travail et temps de travail(dont la charge de travail, l'impact de la réorganisation, l'articulation entre vie professionnelle et vie personnelle)

- Les rapports sociaux au travail (organisation du travail et management)

- Perte de sens du travail

- Insécurité sur les postes de travail (dont sentiment d'insécurité physique, impact de la réorganisation, risque accru d'accident de travail)

- Insécurité sur l'emploi

 

La direction Régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités de Nouvelle Aquitaine, saisie par la CGT Verallia Cognac, vient d’adresser une mise en demeure à la direction du site verrier de Cognac concernant les risques psychosociaux engendrés suite à la mise en place unilatérale de la nouvelle organsiation du travail à Verallia Cognac. Rappelons que cette nouvelle organisation fait suite à l’arrêt du four de Cognac et à la supression de plusieurs dizaines d’emplois.

La CGT conteste cette nouvelle organisation du travail tout comme l’arrêt du four.

Une organisation du travail qui fait courir de graves dégradations des conditions de travail pour les salariés mais aussi des conséquences sur leur santé psychique et physique et des conséquences industrielles, puisque des lignes sont régulièrement arrêtées faute d’effectif suffisant dans les équipes postés bout-chaud et bout-froid.

La DREETS de Charente et de Nouvelle Aquitaine a jugé les faits suffisament graves pour adresser une mise en demeure au responsable de l’établissement du site de Cognac :

Cette mise en demeure doit etre suivi d’un plan d’action exécuté sur une durée maximale de 4 mois.

La direction du site est sommée donc de : 

– Procéder à une évaluation des rsiques portant sur l’ensemble des facteurs psychosociaux susceptibles d’être à l’origine des constats effectués tels que :

– l’intensité du travail et temps de travail(dont la charge de travail, l’impact de la réorganisation, l’articulation entre vie professionnelle et vie personnelle)

– Les rapports sociaux au travail (organisation du travail et management)

– Perte de sens du travail

– Insécurité sur les postes de travail (dont sentiment d’insécurité physique, impact de la réorganisation, risque accru d’accident de travail)

– Insécurité sur l’emploi

 

Le plan d’action doit être élaboré et mis en oeuvre en comprenant les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé physique et mentale des travailleurs conformément aux dispositions de l’art L.4121-1 du Code du Travail, prenant en compte les résultats de l’évaluation et le respect des principes généraux de prévention conformément aux dispositions de l’article L.4121-2 du code du travail. 

Une belle victoire pour les salariés qui relance notre bataille pour l’emploi et l’avenir du site verrier de Cognac. 

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