Macron est de la lignée de Thatcher, de Reagan, de Blair, de Renzi, de Jonker, de ces flibustiers de la finance qui bradent les biens publics, brise la solidarité, détruisent les droits issus du travail de chacune et de chacun, donnent le pouvoir économique et politique aux multinationales contre l’intérêt des peuples, contre la démocratie et contre la préservation de la terre, de son écosystème, de ses ressources naturelles et de son climat.
La liste des destructions massives des droits sociaux est impressionnantes mais reconnaissons le elle l’est depuis plusieurs décennies, au moins depuis 2002 mais accélérée sous l’ère Sarkozy et amplifiée encore sous l’ère Hollande-Valls-Macron.
Macron n’est que le résultat de cette politique de reniement de la gauche.
En 2018, ce sont donc des mesures antisociales amplifiées : Ordonnances, CSG pour les retraités, fin de l’indexation sur l’inflation des retraites et des allocations familiales ainsi que de nombreuses prestations sociales, taxes sur les carburants, attaque contre les cheminots et les services publics, gel du salaire des fonctionnaires et de l’autre coté sanctuarisation du CICE, suppression de l’ISF, baisse de cotisations sociales, privatisations…Les patrons, la finance et les riches n’en demandaient pas tant, ils sont aux anges!
Quelle douche glacée ils ont reçu sur la tête lorsque des milliers de gilets jaunes ont fleuri partout en France, tel un printemps en pleine automne :
Certes ça et là des politiques d’extrême droite ont tenté de faire oublier qu ils sont de droite et donc qu ils profitent plein pot des mesures de Macron.
Mais la réalité de ce mouvement est sociale : augmentation des salaires, du Smic, du pouvoir d’achat, fin des privatisations notamment des grandes entreprises publiques comme les autoroutes, ADP, SNCF, Air France etc…, plus de démocratie et un avenir commun pour tout un peuple et pour sa jeunesse…
Ces revendications sont celles des salarié-e-s, des retraité-e-s, des jeunes , des femmes, des anciens, du public et du privé.
Et ce gouvernement Rotschild va finir par craquer devant l’ampleur de cette formidable mobilisation dont les lignes s’écrivent toujours au futur…
Macron a reculé, la mobilisation paye et il nous faut l’amplifier en inscrivant cette action dans les entreprises…Car même aux abois, Macron n’a pas osé, n’a pas pu ou voulu toucher ses amis Patrons, ceux du Medef et du Cac40.